Locations d’expositions

Des expositions prêtes à l'accrochage

David Balade propose aussi la réalisation d’exposition (transport, montage et présentation) à partir de série d’oeuvres déjà prêtes à l’accrochage. Pour la plupart, ces expositions consistent alors en une série d’illustrations accompagnées de leur commentaire respectif, ainsi que de textes pédagogiques abordant les sources et les implications symboliques du sujet abordé. Ces expositions pourront être animées par des conférences, des ateliers de dessins ou des spectacles contés en lien avec le thème exposé.

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Couronnée duchesse de Bretagne en 1489, à la mort de son père François II, c’est une Anne âgée de douze ans qui affronte les conflits d’un Moyen Âge finissant. Sait-elle qu’elle est promise à un grand destin ? Dix huit textes et dix-huit tableaux retracent ici l’éclosion de cette enfant en souveraine courageuse, vertueuse et déterminée qui fit, sa vie durant, de la protection de la Bretagne son combat. Texte : Yveline Féray – Illustrations : David Balade
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Anne de Bretagne, reine à la triple couronne

La Courtise d’Étaine figure parmi les plus plus fascinantes légendes irlandaises. On a pu en conserver de nombreux éléments grâce à quelques compilations en gaélique ancien, parmi lesquelles : le « livre de la vache noire » du XIIème siècle et le livre de Lecan de 1318. Cette légende qui fait partie du cycle mythologique irlandais, décrit plus particulièrement l’amour inconditionnel de Midir, seigneur Tuatha de Danann du tertre de Brig Leith pour Étaine, la plus belle femme d’Irlande, dont le nom signifie « poésie » et qui sera transformée en papillon. Le récit relève du thème universel de l’attirance réciproque du seigneur des ombres pour une femme lumineuse. Un thème qui pourrait rappeler les mythes d’Éros et Psyché, Hadès et Perséphone, le conte de la Belle et la Bête. Inspiré des motifs celtiques traditionnels, et des lignes fluides de l’art nouveau, David Balade propose une série de 20 illustrations de ce conte, utilisant gouaches, pastels et encre sur papier, ainsi que des créations numériques intégrants des dessins originaux…
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La courtise d’Etaine

Depuis la fin du XVIIIème siècle, dans le sillage des mouvements folkloristes, de l’étude comparée des langues et des religions, les érudits européens ont dessiné ce qu’on appelle désormais la mythologie celtique. A partir des récits classiques antiques, des sources littéraires médiévales irlandaises (Lebor Gabala Eiren, cycle de Finn et d’Ulster), galloises (Mabinogi, Matière de Bretagne) et française (cycle arthurien de Chrétien de Troyes, roman de Tristan de Béroul…) se dégagent ainsi différents mythèmes et personnages considérés comme typiquement celtiques. Inspiré des motifs des plus beaux livres enluminés insulaires du haut Moyen Âge, ainsi que des compositions de l’ Âge d’Or de l’illustration, David Balade propose diverses illustrations de ces légendes celtiques parfois encore jamais illustrées, utilisant feuille d’or, gouaches, pastels et encre sur papier.    
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Les plus belles légendes celtiques

Dans le vaste répertoire graphique des formes celtiques, les spirales et motifs curvilignes occupent une place de choix : bijoux, revers de miroirs, fourreaux d’épée, et autres boucliers de l’Antiquité, pierres gravées et livres enluminés du haut Moyen Âge témoignent ainis de cette omniprésence de la spirale dans l’histoire de l’art celtique. Parmi ces formes spiralées, le triskel -symbole constitué de trois branches spiralées tournoyant autour d’un point fixe- apparaît comme une spécificité du graphisme celtique, au point d’avoir été tout désigné comme symbole identitaire des Celtes. S’inspirant de ces formes spiralées celtiques traditionnelles, ainsi que des motifs de la nature, David Balade explore depuis 2008 les possibilités graphiques de la spirale et du triskel sur petits et moyens formats avec feuille d’or, encre, gouache et aquarelle sur papier. Sur de très grands formats, il pratique également la technique de l’acrylique sur toile.
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Spirales celtiques

Sire Gauvain et le chevalier vert est un roman de chevalerie anglais du XIVème siècle dont le manuscrit est conservé à la British Library à Londres. Le récit, considéré comme l’un des premiers textes de la littérature anglaise moderne, décrit comment Gauvain, chevalier de Camelot, est mis à l’épreuve en acceptant de couper la tête du chevalier vert, à condition qu’il se fasse lui aussi couper la tête l’année suivante. Partant d’une recherche sur le personnage du chevalier vert, synthèse des figures médiévales de l’homme vert et des maîtres des créatures sauvages des diverses traditions indo-européennes, David Balade propose ainsi une série de 12 illustrations de ce conte, utilisant gouaches, pastels et encre sur papier.
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Sire Gauvain et le chevalier Vert

Le conte du Coupeur de Bambou est considéré comme l’un des plus anciens contes traditionnels japonais. Sa première version écrite encore conservée remonte au IXème siècle, soit au début de l’ère Heian, âge d’or de la culture impériale japonaise. On y découvre comment la radieuse princesse Kaguya Hime, élevée par un pauvre coupeur de bambous, échappe aux avances de l’Empereur avant d’élucider le mystère de ses origines. Inspiré des grands principes de l’esthétique japonaise cristallisés durant l’ère de Heian, comme le yugen (sensibilité profonde au mystère indicible de l’Univers) et le mono no aware (mélancolie devant l’impermanence des choses), David Balade propose une série de 15 illustrations de ce conte, utilisant la technique des aquarelles japonaises mizu enogu, ainsi que gouaches et pastels sur papier.
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Le conte du coupeur de bambous

En Japonais, la méduse se dit kurage (prononcer « kouragué »). La lecture des deux idéogrammes qui la compose pourrait s’interpréter comme la mère 母 de l’eau 水. Inversion poétique, où un être vivant devient l’origine de son propre élément. Physiologiquement la méduse se distingue en effet à peine de cet élément acqueux dont elle est composée à 98%. Apparue parmi les premiers organismes complexes, il y aurait 500 millions d’années, la méduse conserve d’ailleurs la forme sphérique originelles des premières cellules de la vie, et fut le premier organisme a développer les premières formes d’yeux. Inspiré de ces organismes primordiaux qui le fascine depuis des années, David Balade explore depuis 2012 les multiples possibilités graphiques des méduses, dans une série d’oeuvres de petits et moyens formats intitulée Kurage (gouaches, encre, aquarelles et feuilles d’argent sur papier).
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Kurage

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